La mystérieuse panne des instruments de mesure lors de l’ouverture du tombeau du Christ
Action divine ou simple pépin technique ? Lors de l’exploration par résonance électromagnétique du tombeau du Christ, à Jérusalem, l’été dernier, les instruments de mesures, pourtant ultra sophistiqués, sont mystérieusement tombés en panne. La tombe a depuis été ouverte, le 26 octobre 2016, mais l’”incident” demeure toujours inexpliqué.
Le moment se voulait historique. La pierre tombale du Christ, située dans l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem, n’avait pas été ouverte depuis 1810. Préparant l’événement à l’été 2016, la professeure Antonia Maropoulou et son équipe s’apprêtent à étudier, par résonance électromagnétique, l’intérieur de la cavité tombale, avec des moyens technologiques derniers cris.
“Les techniques que nous utilisons pour documenter ce moment unique permettra au monde d’étudier nos découvertes et de se sentir véritablement dans la tombe du Christ”, promet-elle dans un entretien au Guardian. C’était sans compter sur une part d’irrationnel. Car un étrange phénomène se produit alors : les instruments de mesures tombent soudainement en panne.
Le mystère persiste
Faisant parti d’un plan de restauration de l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem, les chercheurs grecques ont besoin d’injecter du mortier dans le bâtiment sacré et entreprennent de protéger la tombe de Jésus. Mais pour cela, les scientifiques ont besoin d’y accéder.Le 26 octobre 2016, le tombeau du christ est bien ouvert. Mais le mystère de l’”incident technique” persiste. “Il y a parfois des phénomènes qu’on ne peut expliquer. Mais c’est une tombe vivante, la tombe du christ”, explique Antonia Maropoulou à France 2. La scientifique laisse alors sa place à la croyante. “Il y a des phénomènes naturels qui peuvent perturber les champs électromagnétiques, admet-elle, il faut simplement admettre que la force avec laquelle l’on croit ou l’on pense, en fait partie.” D’après la tradition chrétienne, le corps du Christ fut déposé par les soldats romains sur ce site après sa mort.
AFP
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